Demain nous appartient : Octave et Lilou vont-ils se remettre ensemble ?

SPOILERS – Dans l’épisode 1917 de Demain nous appartient qui sera diffusé mardi 8 avril, Octave et Lilou se montrent très proches et partagent un moment aussi complice qu’intime.

Octave et Lilou scellent enfin leur réconciliation. Après une période de tension, de malentendus et de silence, les deux amoureux retrouvent leur complicité. C’est dans la chambre d’Octave qu’ils se retrouvent pour un moment intime. Entre conversations légères et regards tendres, c’est une évidence, Lilou et Octave n’ont jamais cessé de s’aimer. Octave, blessé, avait coupé court avec sa dulcinée. Mais Lilou, déterminée à sauver leur relation, a multiplié les messages d’excuses, jusqu’au douzième, celui qui a fait chavirer le cœur d’Octave. “Franchement, je ne sais pas… J’étais quand même bien vénère. Et ton message, j’avoue, ça m’a touché”, avoue-t-il entre deux baisers. 

Octave, toujours aussi taquin, se laisse aller à quelques confidences touchantes, tandis que Lilou joue la carte de la séduction. “Tu aurais quand même regretté ce corps de déesse”, lance-t-elle avec malice, alors qu’ils s’enlacent de nouveau. C’est comme si rien ne s’était jamais brisé entre eux. Octave l’admet d’ailleurs sans détour : “Maintenant qu’on s’est réconciliés, je te préviens, je ne vais plus te lâcher.”

Un nouveau départ… pas sans péripétie 

Alors que le couple se projette déjà dans des activités à deux, une personne vient troubler leurs retrouvailles : Bastien. Lilou réalise soudainement qu’elle a un rendez-vous prévu avec lui. “Ah m*rde, j’ai complètement oublié mon ciné avec Bastien, je ne peux pas annuler”, s’exclame-t-elle. La réaction d’Octave est immédiate : “On s’en fout de Bastien.” Mais Lilou, fidèle à ses principes, insiste pour prévenir Bastien avant de changer ses plans. Elle attrape ainsi son téléphone. Octave, de son côté, n’a pas dit son dernier mot. Dans un geste mi-tendre, mi-provocateur, il s’approche, l’embrasse dans le cou, puis attrape doucement le téléphone qu’il dépose sans un mot. Une manière de lui dire : “Et si, pour une fois, tu pensais juste à nous ?”