“Il était dégoûté !” : Emmanuel Moire et Charlie Nune balancent sur cet acteur de Demain nous appartient dépité de ne pas participer à l’effondrement du lycée

Dans une interview accordée à Télé-Loisirs, Emmanuel Moire et Charlie Nune ont dévoilé le nom du comédien de Demain nous appartient qui aurait rêvé tourner l’explosion et l’effondrement du lycée…

Adam (Alain le Bars), Amel (Maëlis Adalle), Lizzie (Juliette Mabilat), Jack (Dimitri Fouque), Chloé (Ingrid Chauvin), Marianne (Luce Mouchel), Charlie (Clémence Lassalas qui reste dans la série de TF1) ou François (Emmanuel Moire) sont tous impactés par l’explosion puis l’effondrement du lycée Agnès Varda dans l’épisode du mercredi 6 septembre de Demain nous appartient. Et un autre acteur aurait rêvé de tourner cette arche catastrophe exceptionnelle… Emmanuel Moire et Charlie Nune, l’interprète de Soizic, ont balancé son nom dans une vidéo à découvrir prochainement et qui dévoile les coulisses de cet épisode.

Demain nous appartient : “Adher nous a fait un sketch pas possible !” raconte en riant Charlie Nune
“Pour la petite histoire, Adher, l’interprète de Nathan, nous a fait un sketch pas possible” nous a confié Charlie Nune dans un éclat de rire. “Il était dégoûté ! Ils nous a dit : “ils ont attendu que Nathan parte du lycée pour le faire exploser alors qu’il a triplé sa terminale. Au lycée, ils se passent trop de trucs, à l’hôpital pareil, et moi, je suis en train de boire un café au Spoon. Il était juste dégoûté !” conclue l’actrice face à un Emmanuel Moire hilare.

Demain nous appartient : qui est Adher, l’interprète de Nathan ?
“J’ai été repéré par un agent artistique par rapport à mes vidéos sur les réseaux sociaux pour passer le casting de Demain nous appartient et j’ai eu la réponse deux mois après. J’ai cru que c’était mort au départ même si j’y croyais fort”, avait raconté la star des réseaux sociaux à Lyon Première au moment de l’arrivée de son personnage. “Ils aimaient bien mes vidéos, mon côté naturel, spontané et mon talent. Je suis né à Bron et j’ai grandi dans l’Ain. Ça a commencé par une simple vidéo pendant le premier confinement où je voulais envoyer un snap à un pote et ma mère est intervenue. J’ai eu un facteur chance et je savais que j’étais fait pour ça. Je me filmais depuis l’âge de 12 ans. J’avais la volonté de divertir les gens. Ça me fait du bien de faire du bien”.