Carla rompt avec Bérénice et quitte l’Institut ! Le résumé de l’épisode 1292 du vendredi 24 octobre 2025 – Ici tout commence en avance

Malgré les précautions prises, Carla découvre la vérité, quitte Bérénice et décide de retourner vivre à Angers. Quant à Ferdinand, il semble s’être fait une copine… Des événements à découvrir dans l’épisode d’Ici tout commence du vendredi 24 octobre 2025.

Dans l’épisode d’Ici tout commence du vendredi 24 octobre 2025… Avant son cours, Gaëtan relit ses fiches et demande à Pénélope d’y jeter un œil. Celle-ci renverse “accidentellement” son café dessus. Le nouveau prof de nutrition est dans tous ses états et veut annuler son intervention. “Je suis désolée de te dire ça comme ça, mais ton cours d’hier était affreusement chiant”, balance Pénélope expliquant qu’elle ne le lui avait pas dit plus tôt pour ne pas le vexer. Elle accepte alors de l’aider à rendre son cours “plus interactif”. Et c’est une franche réussite !

Ici tout commence en avance : Ferdinand, passe un test à son insu

Anaïs insiste auprès de Billie : selon elle, Ferdinand a le profil parfait pour le poste de maître d’hôtel. Stanislas les interrompt, il veut justement savoir où en est le processus de sélection. Anaïs intervient en expliquant que le fils Castelmont, qui n’a pas postulé, est le seul élève à avoir “un niveau vraiment impressionnant”. Billie s’y oppose, arguant qu’il “est la personne la plus odieuse que l’Institut n’ait jamais vue”. Stanislas propose de tester Ferdinand au prochain service. “Comme ça, s’il se comporte mal, on le dégage et on n’en parle plus”, renchérit Anaïs.
Et voilà comment la cheffe Grimbert demande à Ferdinand de se charger de servir un plat nécessitant technicité et délicatesse à un client régulier dont c’est l’anniversaire. Anaïs prétend que ni Stanislas ni Billie ne peuvent s’en charger, raison pour laquelle elle s’adresse à lui. Sans le savoir, le fils Castelmont passe le test haut la main et évite les pièges tendus par ledit client, également dans la combine. “Navré Billie mais là c’est une perle”, constate Stanislas, qui semble avoir fait don choix.

Ici tout commence en avance : Ferdinand propose un marché à Billie

“Je savais bien que c’était une très mauvaise idée”, commence Billie quand Ferdinand se met à débiner ses camarades de salle. Elle lui explique ensuite que Duchesnay veut lui proposer le poste de maître d’hôtel. Si elle ne partage pas l’avis de Stanislas, elle reconnaît qu’ils ont été bluffés par sa maîtrise. “Je ne suis pas venu ici pour avoir un poste aussi peu reluisant. Quand on s’appelle Castelmont, on est censé être chef pas sous-fifre”, proteste-t-il. Billie insiste : “Je trouve ça dommage que tu n’acceptes pas le poste juste parce que t’as peur de déshonorer ta famille sur trois générations.” Ferdinand propose alors un marché à Billie : il acceptera le poste si, en contrepartie, elle lui file un coup de main. “Je galère en cuisine et je n’ose pas demander de l’aide parce qu’il n’y a personne qui voit que je peux “parfois être un type presque sympa””, lui dit-il en reprenant ses propres mots. Touchée, Billie accepte…
Pendant la session de cuisine, Ferdinand se justifie dès que Billie pointe un problème. “Ce que je juge, c’est ton plat, ce n’est pas toi”, le rassure-t-elle. Elle lui fait comprendre qu’elle le coachera encore et lui, lui avoue qu’il a accepté le poste de maître d’hôtel avant de savoir qu’elle l’aiderait à nouveau. Ferdinand se serait-il enfin fait une copine ?

Ici tout commence en avance : Carla découvre qu’elle allait se marier…

“Avec ta mère, on pense que ce serait une bonne chose que tu passes la journée chez Rose, commence le père de Carla. Juste pour essayer de raviver tes souvenirs.” La jeune femme préférerait rester avec ses parents mais ils insistent. Alors qu’elle prépare l’arrivée de Carla en prenant soin de faire le tri dans leurs photos, Bérénice se confie à Jim : “Je ne peux même pas lui dire qui je suis… […] Je suis censée faire comme si j’étais personne, comme si on n’avait pas eu de relation.” Elle poursuit en expliquant que c’est une idée de sa mère adoptive, “elle a peur que ça déclenche chez elle un stress émotionnel trop fort et que ça empire son état.” Carla arrive dans leur dos et entend Jim évoquer leur mariage.
“Je suis désolée que tu l’apprennes comme ça”, avoue Bérénice quand elles sont seules et répond aux questions de sa petite amie quant à leur relation. “Je viens juste d’apprendre que j’aime les filles. T’es plutôt pas mal mais ça me fait tellement bizarre… J’étais tellement persuadée que j’allais finir avec un mec… […] Nous deux, on s’aime vraiment ? C’est sérieux ?” Si Carla accuse mieux le coup que sa mère le pensait, elle fait promettre à Bérénice, un peu embêtée, de toujours lui dire la vérité.

Ici tout commence en avance : Carla rompt avec Bérénice

Si Rose se veut rassurante, Carla s’impatiente de ne pas retrouver sa mémoire : “Depuis que je suis ici, je n’ai fait aucun progrès.” Marc explique que l’environnement n’est pas le seul déclencheur de souvenirs, il y a aussi, la cuisine, des odeurs, des objets personnels… Le père de Carla lui a vivement déconseillé de regarder les photos dans son téléphone de peur qu’elle ait un choc trop violent. Rose l’encourage à le faire. Si elle est effrayée, Carla plonge dans son téléphone.
Quand Bérénice revient, Carla lui tombe dessus et lui rappelle qu’elle avait annulé leur mariage. Bérénice explique le contexte mais Carla ne veut rien entendre : “Quand ta petite copine va tellement mal, t’attends qu’elle soit bien au fond du trou comme ça tu l’achèves d’un coup de pelle !” Bérénice a beau lui expliquer la situation, Carla s’emporte : “Dégage, je ne veux plus jamais te voir !”

Ici tout commence en avance : Carla retourne vivre à Angers

Bérénice raconte à Rose sa dispute avec Carla. “En quelques heures, elle a appris que vous étiez en couple, que vous alliez vous marier mais que finalement vous avez décidé de repousser”, souligne la directrice du master. Carla et ses parents débarquent à cet instant : “Rose, je voulais te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi mais je ne vais pas pouvoir rester ici plus longtemps. […] Je rentre chez mes parents à Angers et je ne reviendrai pas.”