“Des accidents de la vie ont fait que nous sommes devenus très proches” : Frédéric Diefenthal se livre sur la relation qu’il entretient avec sa femme

Quelques semaines après s’être marié avec Stéphanie Seguin, Frédéric Diefenthal s’est confié à cœur ouvert sur les sentiments qu’il éprouve envers sa femme…

Frédéric Diefenthal est un homme comblé. Le 15 juillet dernier, le comédien de 55 ans s’est marié avec Stéphanie Seguin, avec qui il est en couple depuis près de 10 ans. L’acteur avait annoncé la nouvelle à travers une publication partagée sur son compte Instagram : “Presque 10 ans que nous cheminons ensemble ! Le 15 juillet la femme de ma vie est devenue Ma femme avec un Oui… Enfin deux en comptant le mien. Que c’est bon l’amour ! J’espère que c’est encore loin grand schtroumpfs !” De son côté, Stéphanie Seguin avait également fait part de son bonheur sur le réseau social en écrivant : “Oui, oui, ouiiiii !!!!! Je t’aime à l’infini multiplié par l’univers plus quarante douze…”

À l’occasion d’un entretien publié dans les colonnes de Nice-Matin ce vendredi 4 août, Frédéric Diefenthal s’est confié sur sa relation avec sa femme. Les deux tourtereaux sont également liés sur le plan professionnel, comme l’a expliqué l’interprète d’Antoine dans la série Ici tout commence sur TF1 : “Je travaille en ce moment même sur des projets d’écriture avec ma femme Stéphanie. Elle n’aborde pas les choses de la même manière que moi, elle a davantage de recul. C’est une artiste, une passionnée, elle peint, tout en étant une matheuse.”

“Nous sommes très différents, tout en étant complémentaires. Des accidents de la vie ont fait que nous sommes devenus très proches”, poursuit Frédéric Diefenthal, qui en a dit plus sur les coulisses de son mariage. “Nous venons juste de nous marier, après dix ans de relation amoureuse. Elle est de 1978, moi de 1968, et on s’est dit qu’on avait cent ans à nous deux. Qu’on allait célébrer notre siècle ensemble et non pas nos anniversaires à cinq mois d’intervalle. On a improvisé notre mariage comme ça, avec une poignée d’invités, du côté de Palavas-les-Flots, où nous vivons désormais, sur cette Méditerranée qui nous est chère.”