Ici tout commence en avance : La terreur règne à l’Institut, Ferdinand perd son sang-froid face à Teyssier, Constance veut se dénoncer…

Alors qu’Alice déclare ses sentiments à Gaëtan, un vent de panique souffle sur l’Institut. Quant à Teyssier, il fait perdre son sang-froid à Ferdinand. Des événements à découvrir sans l’épisode d’Ici tout commence du mardi 11 mars.

Dans l’épisode d’Ici tout commence du mardi 11 mars… Alice rêve de Gaëtan et de tomates séchées, en velouté, en jus, en sauce, en coulis, en garniture… Quand elle se réveille, malgré son envie d’avouer ce qu’elle ressent à Gaëtan, Alice n’y arrive pas. En revanche, elle se confie à Hortense et Stanislas. La cheffe Rochemont lui suggère de créer une ambiance romantique afin de faciliter les choses. Elle organise alors un pique-nique aux marais mais s’emmêle dans sa déclaration. Heureusement, Gaëtan qui sait maintenant comment fonctionne Alice, la devance et lui avoue ses sentiments.

Ici tout commence en avance : Un nouveau danger guette l’Institut

Charlotte sur la tête, masque, gants en caoutchouc et balais vapeur à la main, Tom nettoie à fond l’appartement afin de se préserver d’un grand fléau : les punaises de lit ! L’inquiétude monte à l’institut. Malik a lu tout ce qu’il pouvait lire sur les punaises de lit, Colline prend soin de se tenir à bonne distance de tous ses camarades, Solal désinfecte ses vêtements dans la chambre froide du Double A… La situation prend une telle ampleur que Myriel décide de faire intervenir un spécialiste. Aux étudiants de se débrouiller pour trouver où dormir le temps de désinfecter leur chambre.

Ici tout commence en avance : Bérénice s’étonne du comportement de Teyssier, particulièrement indulgent

Constance s’étonne de la réaction d’Emmanuel. Il comprend son épouse, qui a aidé à son père, en phase terminale d’un cancer, à mourir. Elle n’avait pas prévu d’en parler à Rose mais “ça s’est fait comme ça, à l’enterrement d’Auguste. […] Elle venait de perdre son père. Elle s’est confiée. Moi aussi…”, raconte-t-elle à son mari. C’est à ce moment-là que Castelmont a dû les enregistrer. “Si Bérénice apprend ce que j’ai fait, elle ne me le pardonnera pas”, s’inquiète Constance. Bérénice n’a pas entendu leur conversation mais les aperçoit enlacés et s’en étonne.
“Il était tendre, il était doux avec elle”, raconte plus tard Bérénice à Carla, en parlant de Teyssier et Constance. Emi arrive dans les vestiaires à cet instant et assume avoir balancé la tromperie de Constance : “Je ne voulais pas en parler au début mais Latour a nommé Ferdinand second du master. […] Les masterants n’ont pas à subir les conséquences de tout ça.”

Ici tout commence en avance : Ferdinand perd son sang-froid

Face à Teyssier, Ferdinand fait le coq. Du moins au début. “Fais pas trop le malin”, lui dit le directeur quand Castelmont menace de montrer la vidéo à la police. Le problème est que les jeunes chefs sont prêts à refaire la grève si Ferdinand réintègre la brigade. “A quoi va servir ton petit chantage si jamais il n’y a plus de master ?”, ironise Teyssier, qui le fait vaciller en abordant sa médiocrité en cuisine. Emmanuel lui propose cependant de lui obtenir “une légitimité culinaire” en échange de la vidéo de Constance. Marché conclu.
Teyssier demande ensuite à Enzo de reprendre son poste de codirecteur et explique que la décision d’intégrer Ferdinand au master venait de lui et non de Rose. Enzo explique que Castelmont n’a pas le niveau, Teyssier fait mine de le découvrir et propose de faire passer un test au jeune homme : “S’il réussit, il reste. S’il se plante, il dégage. J’ai merdé, je n’aurai pas dû le laisser entrer en force, j’ai fait une erreur.” Ladite évaluation aura lieu dès le lendemain.
Marc qui a assisté à la conversation, demande à son ami ce qu’il en est exactement du chantage de Ferdinand. Emmanuel lui raconte alors la vérité. Plus tard, Marc dit le fond de sa pensée à Rose, stupéfaite : il ne dénoncera pas Constance mais il est consterné par ce qu’elle a fait.

Ici tout commence en avance : Constance veut se dénoncer à la police

“Si tu veux garder ta place à l’Institut, tu ferais mieux de suivre à la lettre le plan que mon mari t’a proposé”, balance d’emblée Constance à Ferdinand, venu pour se préparer à son test. Emmanuelle s’agace face au manque de cohérence du concept de Castelmont, qui fanfaronne quand même.
Quand il revient voir où Ferdinand en est, Teyssier déchante : le plan de travail est sens dessus dessous, sa sauce est trop liquide, son chou-fleur trop dense… Bref, rien ne va ! Pire, le prétendu jeune chef ne suit pas les recettes et surtout, il n’a pas encore sorti ni son plat ni son dessert. “T’es encore plus nul que je le pensais. […] T’es un imposteur”, constateTeyssier. “Je ne suis pas nul !“, s’emporte Ferdinand, piqué à vif. “Allez bien vous faire foutre, vous verrez demain, je n’ai pas besoin de vous. Je n’ai besoin de personne !”, lâche-t-ilavant de claquer la porte. Alertée par les cris, Constance débarque. Comprenant que Ferdinand n’a pas le niveau pour rester à l’Institut, elle craint qu’il ne donne la vidéo de sa confession à Bérénice. Elle décide alors d’aller se dénoncer à la police… Teyssier va-t-il l’en empêcher ? La suite au prochain épisode !

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