Ici tout commence : Francis Huster prêt à revenir plus régulièrement ? Il dit tout

Près de trois ans après la mort de son personnage, Francis Huster fait son grand retour dans Ici tout commence grâce à des flash-backs. Du lundi au vendredi à 18 h 30 sur TF1.

Pourquoi avoir décidé de faire votre retour dans ITC ?

Francis Huster : J’ai tenu parole. En 2020, à la création de la série, je ne pouvais pas rester car j’avais des projets au théâtre. Mais quand Auguste Armand est mort, j’ai promis aux équipes que je reviendrais. J’aime beaucoup le concept des flash-backs, qui ont été inventés par Shakespeare dans Hamlet. On ne peut pas mentir.

Que va-t-on découvrir ?

Qu’Auguste Armand a été assassiné ! Tous les retours dans le passé vont finir par révéler qui est l’auteur de ce meurtre.

Votre retour s’est bien passé ?

Les équipes m’ont fait la fête. Le jour où je suis revenu, il y avait, comme tous les jours, des fans de la série devant l’Institut. Ils étaient sidérés de me voir. Une dame m’a même dit qu’elle avait voulu aller sur la tombe d’Auguste Armand dans le petit cimetière local. Elle pensait que mon personnage avait réellement existé.

Comment avez-vous réagi en découvrant qu’Auguste Armand était le père d’un quatrième enfant, Axel ?

Il y a quelques mois, dans le métro, un homme m’a dit : “Dites donc, vous êtes un beau salaud.” J’ai été étonné et le monsieur m’a gentiment expliqué ce que les téléspectateurs venaient de découvrir sur le passé d’Auguste. J’ai été inquiet car, dans ma carrière, j’ai toujours refusé les rôles de méchant. J’appréhendais donc un peu mon retour dans la série. Mais les flash-backs sont des scènes dans lesquelles, au contraire, mon personnage se comporte en héros.

Ce come-back d’Auguste Armand est-il exceptionnel ?

Je suis prêt à revenir tous les deux-trois mois.

Quels sont vos projets pour la rentrée ?

Je vais reprendre la pièce Les Pigeons, au Théâtre des Nouveautés, avec Michel Leeb. Un véritable succès. J’ai aussi deux très beaux projets de séries avec TF1, mais je ne peux pas en parler.