Connect with us

Plus belle la vie

[EXCLU] Plus belle la vie : “C’est un terrible choc pour lui” … Patrick face à l’impensable, Jérôme Bertin se confie !

Published

on

Dans Plus belle la vie, encore plus belle, Patrick a appris une nouvelle de taille : il est le père de Vadim. Mais alors, comment Jérôme Bertin a-t-il réagi en apprenant que la famille Nebout allait accueillir un nouveau membre ? Il nous répond !

Tempête chez les Nebout dans Plus belle la vie, encore plus belle ! Contre toute attente, Patrick n’est autre que le père que Vadim (Léo Mazo). Une révélation aussi choquante que terrifiante puisque le commissaire se retrouve également accusé de viol.

Heureusement, notre héros est innocent et c’est Delmas (Pierre Azéma) qui est responsable de tout ce qui s’est passé. Mais alors, comment Jérôme Bertin a réagi en découvrant qu’il serait à la tête d’une arche aussi intense ? Comment se passe sa collaboration avec l’interprète de Vadim ? Interrogé par nos soins, le comédien se livre sur une intrigue lourde de conséquences !

AlloCiné : Vous portez une arche très intense. Comment avez-vous réagi en lisant le scénario ?

Jérôme Bertin (Patrick) : J’étais très content. J’adore jouer tout ce qui est paternité, donc, là je suis servi. Surtout, c’est une paternité qu’il découvre sur le tard et qui le surprend. Et en plus, au fur et à mesure de l’intrigue, Nebout découvre le côté sombre de cette paternité, donc c’est formidable.

J’étais très heureux de pouvoir jouer avec Léopold Mazo, qui est un super acteur. On est en train de développer une vraie relation tous les deux et c’est un régal quand on joue ensemble.

C’est une intrigue qui remet en question l’intégrité de Patrick, un personnage emblématique de la série et particulièrement apprécié. Comment avez-vous accueilli cette nouvelle ?

Il y a quand même toute une phase où même lui se pose la question. Je ne sais pas si on peut dire que ça remet en cause l’intégrité de Patrick, parce qu’on découvre qu’il est d’une honnêteté absolue vis-à-vis de Babeth quand il s’en explique.

Il a honte, il se sent coupable, mais en même temps, il ne se souvient pas du tout des circonstances dans lesquelles ça s’est passé. C’est sûr que ça pouvait noircir le tableau au départ sur le personnage.

Mais c’est comme dans la vie, on n’est pas tous parfaits. Il fallait bien qu’il ait un petit côté obscur aussi. Et puis c’était très bien à jouer parce que ça remettait en question le regard des autres personnages sur lui, que ce soit Boher (Stéphane Henon), Ariane (Lola Marois), ou évidemment Babeth (Marie Réache).

Était-ce un défi en tant qu’acteur de jouer une intrigue aussi forte en émotions ?

Je l’ai vraiment vécu comme un plaisir. Je trouvais que c’était très intéressant d’apporter ça au personnage. Surtout que si on se souvient bien, Nebout lui-même a été violé dans une intrigue antérieure. Là, il y a eu un parti pris de la part des auteurs de ne pas évoquer cette période-là pour ne pas complexifier toute la lisibilité de l’intrigue. Mais moi, j’aime bien jouer ça parce que ça vient nous remuer un peu.

Plus belle la vie, encore plus belle

Comment se sent Patrick lorsqu’il comprend qu’il est le père de Vadim, et notamment lors de la scène dans laquelle il se retrouve confronté à lui ?

C’est un choc. C’est un terrible choc. C’est de la honte, c’est de la culpabilité, c’est du dégoût de soi. Là, ce n’est pas un moment où Patrick s’aime beaucoup, quand tout d’un coup, il apprend qu’il aurait violé la mère de Vadim.

Lui, en fait, il arrive dans cette scène en voulant assumer sa nouvelle paternité. Sauf qu’il ne connaît pas le contexte dans lequel ça a commencé. Il ne sait pas que c’est un viol. Il n’en a pas le moindre souvenir. Donc le choc est extrêmement violent, d’autant plus violent que Patrick a été violé, lui aussi.

Vous avez partagé des scènes très dures avec Léo Mazo. Comment avez-vous travaillé ensemble ?

Avec Léo, on a travaillé en dehors du boulot, c’est-à-dire qu’on s’est beaucoup parlé. On a appris à se connaître, parce que moi, je ne le connaissais pas. Je n’arrête pas de le dire, mais je pense que c’est quelqu’un qui apporte énormément à Plus Belle la Vie parce qu’il a un profil atypique, et ça fait du bien de voir aussi un personnage comme ça qui est plein d’aspérités et qui a en même temps une immense fragilité.

On sent toute sa sensibilité et on a envie de le protéger, ce gamin. On n’a pas forcément travaillé ensemble les scènes en amont. Parce que moi, ce qui m’intéressait, et lui travaille de la même manière, c’était de voir la magie de la séquence au moment où on la tourne.

Il y a des séquences, c’est très bien de les travailler en amont avec les acteurs pour que, au moment où on les tourne, il y ait une grande fluidité et qu’on puisse s’amuser avec ça. Là, ce qu’on voulait, c’était se laisser surprendre et cueillir par la réaction de l’autre. Et moi, j’ai presque tendance à dire que quand je joue avec Léo, je suis aussi un peu spectateur.

C’est-à-dire que j’aime le voir jouer, j’aime me laisser cueillir. Là où on a préparé, c’est qu’on a créé une vraie relation tous les deux. Vraiment, c’est un garçon que j’aime beaucoup, pour lequel j’ai beaucoup d’affection. On s’appelle, on se laisse des messages. Il y a comme un vrai lien filial qui est en train de se créer entre nous deux.

Fan de Plus belle la vie sur TF1 ? les séries à ne pas manquer
Vous aimez le feuilleton quotidien Plus belle la vie diffusé sur TF1 en début d’après-midi, à n’en pas douter, vous allez adorer les 3 séries françaises diffusées en fin de journée Ici tout commence à 18H30 avec Benjamin Baroche et Demain nous appartient avec Ingrid Chauvin à 19h10 ainsi qu’Un si grand soleil avec Tonya Kinzinger sur France 3 à 20H40.

Tendances