Jules signale un cas de maltraitance à la police et confisque la clé du couloir interdit, Louisa en grand danger ? Le résumé de l’épisode 417 du mercredi 10 septembre 2025 – Plus belle la vie en avance

Aya émet des doutes quant à l’honnêteté de la famille biologique d’Ophélie, Idriss est averti d’un cas de maltraitance à Saint-Côme, Jules confisque la clé du couloir interdit à Louisa… Des événements à découvrir dans l’épisode de Plus belle la vie du mercredi 10 septembre.

Dans l’épisode de Plus belle la vie du mercredi 10 septembre… Zoé trépigne d’impatience : elle a hâte de faire sa rentrée en histoire de l’art. La jeune femme s’inquiète quand Apolline s’étonne qu’elle n’ait pas encore connaissance de son emploi du temps ni même reçu le mail de confirmation de son inscription. Après s’être renseignée, Zoé fulmine, elle n’est en effet pas inscrite. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas validé la dernière étape de son dossier. “C’est un classique, commence Apolline, c’est tellement une galère leur histoire d’inscription qu’on zappe souvent la dernière étape.” Blanche, qui a fait jouer ses contacts, est porteuse d’une mauvaise nouvelle : il n’y a plus de place en histoire de l’art avant l’an prochain. En revanche, Zoé peut s’inscrire au choix en socio ou en psycho. Sur les conseils de Blanche, elle choisit psycho afin de ne pas perdre une année.

Plus belle la vie en avance : Aya met en garde Ophélie contre sa famille biologique

“J’ai fait n’importe quoi en débarquant chez elle comme ça”,reconnaît Ophélie, qui culpabilise de la façon dont elle a balancer la vérité à Sylvie, sa mère biologique. A cet instant, Chris, son frère rencontré pour la première fois la semaine dernière, se pointe à la Résidence et fonce sur elle et Aya. “Ma mère elle est en boucle depuis que t’es venue à la maison !” Ophélie s’excuse et explique qu’il s’agit d’un “échange de bébés à la maternité. J’ai même une preuve que ce n’est pas des conneries.”
Dans le salon des Vavin, Ophelie explique toute l’histoire à sa mère mais omet de raconter la responsabilité de son autre mère dans cette terrible affaire. Elle laisse croire que la sage-femme a agi seule sans savoir pourquoi. “Ta famille aussi a dû beaucoup souffrir quand vous avez appris cette histoire”, souligne Sylvie en prenant affectueusement la main de sa fille retrouvée.
Ophélie raconte sa rencontre avec sa famille à Aya. Si elle est ravie pour son amie, Aya s’étonne du revirement aussi rapide des Vavin et la met en garde : “S’ils apprennent la vérité, c’est possible qu’ils demandent des dommages et intérêts à ta mère.” Ophélie ne doute pas un instant de la sincérité de sa mère biologique.

Plus belle la vie en avance : Louisa se dénonce mais n’est pas sanctionnée

Léa raconte à sa thérapeute ce que l’écoute de l’enregistrement de l’agression a déclenché chez elle. En entendant Perrot dire “ne me touche pas, tu me dégoûtes”, Léa a ressenti une angoisse indescriptible avec tachycardie et surtout une énurésie. Elle est certaine que le couloir dont elle s’est rappelé existe vraiment. Le problème est qu’elle ne sait pas où il est.
“C’est de ma faute si Corentin s’est blessé hier soir”, avoue Louisa à Constance Boileau, la femme de Perrot. L’adolescente s’étonne en comprenant qu’elle ne sera pas sanctionnée. “Je connais parfaitement les us et coutumes de cet établissement pour y avoir été moi-même élève. […] A Saint-Côme personne ne peut prétendre à l’excellence sans être dur au mal. Ça fait partie de l’apprentissage”, lui explique Boileau. De son côté, son mari s’inquiète que Louise rapporte cette affaire à son frère, policier.

Plus belle la vie en avance : Jules signale un cas de maltraitance à Idriss

Jules va voir Pelletier à l’infirmerie et met les pieds dans le plat : “Vous savez qu’en France le bizutage est interdit ?” Pelletier raconte que des élèves ont voulu l’enfermer de force dans un couloir abandonné. Jules veut des noms mais Pelletier ne veut rien dire. Ils sont interrompus par Perrot.
Jules se rend ensuite au commissariat pour signaler un cas de maltraitance. Il raconte à Idriss le cas de Pelletier et évoque des privations de nourriture et “des punitions diverses et variées comme rester deux heures à poil dans la cour…” Jule se demande même “dans quelles mesures la directions ne couvre pas ces pratiques”. Il assure Idriss quant au fait que Louisa n’est victime de rien mais lâche que selon lui, “elle fait partie des bizuteurs”. Et quand Jules évoque le couloir d’une aile abandonnée, Idriss est tout ouïe. Jules demande à Idriss de ne pas griller sa couverture. “Ok mais en contrepartie, il faudra peut-être me rendre service”, prévient le policier.
Après la visite de Jules, Idriss retrouve Léa au cabinet. Le policier est certain que le signalement pour maltraitance a un lien avec l’histoire de Léa. Il lui raconte le couloir où aurait été enfermé Pelletier, comme celui cauchemar de Léa, à l’époque où elle était élève là-bas. Il lui propose d’aller, en toute illégalité, voir sur place. Elle accepte mais elle ne pense pas retrouver l’endroit. Aucun souci pour Idriss, qui sait à qui demander.

Plus belle la vie en avance : Jules confisque la clé du couloir interdit à Louisa

A Saint-Côme, Jules interrompt le cours de Perrot. Il prétend avoir trouvé un mégot de cigarette dans la cour afin d’être autorisé à fouiller les poches des élèves. Quand arrive le tour de Louisa, elle ne parvient pas à cacher la clé du couloir interdit. Elle soutient que c’est la clé de chez elle mais Jules n’en croit rien et la lui confisque. Louisa croise alors le regard noir du meneur des bizuteurs, sacrément mécontent de la situation.