Plus belle la vie, le résumé en avance du 10 septembre : Jules signale des cas de maltraitance, Idriss se rappoche des soucis de Léa

SPOILERS – Dans l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle diffusé ce mercredi 10 septembre, les bizutages de Saint-Côme pourraient avoir un lien avec les cauchemars de Léa. Cela dit, Louisa pourrait avoir des soucis avec cette histoire. De son côté, Ophélie se rapproche de sa mère biologique.

Zoé est impatiente de faire sa rentrée en école d’art. Cela dit, Apolline va commencer à la faire stresser après lui avoir fait remarquer qu’elle n’avait toujours pas eu le mail de confirmation de son inscription ni son emploi du temps. Après quelques recherches, Zoé tombe de haut : elle n’est pas inscrite. La raison ? Elle n’a pas validé la dernière étape de son dossier. Blanche a tenté de faire jouer ses contacts mais rien n’y fait : il n’y a pas de place avant l’année prochaine. Cependant, Zoé peut choisir socio ou psycho en attendant. La jeune femme choisit psycho pour éviter de perdre une année.

Ophélie se confie aux Vavin

Ophélie regrette la façon dont elle est venue annoncer la vérité à sa mère biologique, Sylvie, puisqu’elle a débarqué chez elle. Son frère Chris, qu’elle a vu pour la première fois la semaine dernière, va la charger à la Résidence alors qu’elle est avec Aya. Il lui reproche de l’avoir perturbée. Ophélie s’excuse et parle d’un échange de bébés à la maternité. Elle en a la preuve. Chez les Vavin, elle raconte l’histoire à sa mère sans mentionner la responsabilité de « son autre mère » en mettant tout sur le dos de la sage-femme. Sylvie lui prend la main et la réconforte en lui disant que sa famille a dû beaucoup souffrir en découvrant tout ça.

Ophélie raconte cette rencontre à Aya. Cette dernière se réjouit pour elle mais s’étonne du changement de comportement des Vavin. Elle se méfie et met en garde son amie. D’autant plus qu’ils pourraient demander des dommages et intérêts à sa mère s’ils apprennent la vérité. Ophélie est persuadée de la sincérité de Sylvie.

Jules dénonce les conditions des bizutages

Léa dévoile ce qu’elle ressent en entendant l’enregistrement de l’agression à sa thérapeute. Ce qui l’a le plus angoissée est le passage où Perrot dit « ne me touche pas, tu me dégoûtes ». Pour elle, le fameux couloir dont elle s’est souvenue existe vraiment mais elle ignore où il se trouve. De son côté, Louisa avoue à la femme de Perrot que c’est à cause d’elle que Corentin s’est blessé. Constance ne compte pas la sanctionner puisqu’elle connaît les coutumes de l’établissement, étant ancienne élève. Son mari s’inquiète que Louisa rapporte cette affaire à son frère.

Jules rappelle à Pelletier que les bizutages sont interdits en France. Pelletier confie que des élèves ont voulu l’enfermer de force dans un couloir abandonné. Jules veut des noms mais il ne veut rien dire. Jules va signaler un cas de maltraitance au commissariat, notamment en racontant à Idriss tout ce qu’il s’est passé, comme les privations de nourriture et les diverses punitions. Pour lui, la direction couvre certaines pratiques. Il rassure que Louisa n’a rien mais affirme qu’elle fait partie des bizuteurs. Jules parle d’un couloir dans une aile abandonnée. Idriss est interpellé par ce détail. Jules lui demande de ne pas griller sa couverture. Le policier accepte mais demande un petit service au passage.

Idriss fait une proposition à Léa

Plus tard, Idriss retrouve Léa au cabinet. Après le récit de Jules, le policier est persuadé que le signalement pour maltraitance a un lien avec son histoire. Il lui parle du couloir où a été enfermé Pelletier et qui lui rappelle celui décrit par Léa. Idriss lui propose d’y aller en toute discrétion. Léa n’est pas sûre de retrouver l’endroit mais accepte.

À Saint-Côme, Jules stoppe le cours de Perrot et affirme avoir trouvé un mégot de cigarette dans la cour. Il demande à fouiller les poches des élèves. Louisa n’arrive pas à cacher la clé du couloir interdit. Même si elle affirme qu’il s’agit d’une clé de chez elle, Jules n’y croit pas et la lui confisque. Les bizuteurs fusillent Louisa du regard.